Ta silhouette de grand artiste manque aux rues de Besançon, mais il nous reste quelques oeuvres heureusement !
Je me souviens quand tu m'as déménagé de la rue des Granges à la rue Battant, tu n'y allais pas par 4 chemins : les oreillers et le matelas passèrent directement par la fenêtre ; c'est vrai que c'était 10 fois plus rapide...
Est-ce que ton champ de blé tu l'admires toujours autant dans ta retraite ?!
Je suis contente de cette prise de vue ; évidemment c'est une sculpture qu'il vaudrait mieux ne pas prendre de face si possible !